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La 4e de couverture indique : "L'homosexualité dans le clergé est une question très sérieuse qui me préoccupe." Pape François. Le célibat des prêtres ; l¹interdiction du préservatif par l¹église ; la culture du secret sur les affaires d¹abus sexuels ; la démission du pape Benoît XVI ; la misogynie du clergé ; la fin des vocations sacerdotales ; la fronde contre le pape François : un même secret relie toutes ces questions. Ce secret a longtemps été indicible. Il porte un nom : Sodoma. La ville biblique de Sodome aurait été détruite par Dieu en raison de l¹homosexualité de ses habitants. Or, aujourd¹hui, c¹est au Vatican que l¹on trouve l¹une des plus grandes communautés homosexuelles au monde. Pendant quatre années, Frédéric Martel a vécu en immersion à l¹intérieur du Vatican et mené l¹enquête sur le terrain dans une trentaine de pays. Il a interrogé des dizaines de cardinaux et rencontré des centaines d¹évêques et de prêtres. Ce livre révèle la face cachée de l¹église : un système construit depuis les plus petits séminaires jusqu¹au Vatican à la fois sur la double vie homosexuelle et sur l¹homophobie la plus radicale. La schizophrénie de l¹église est insondable : plus un prélat est homophobe en public, plus il est probable qu¹il soit homosexuel en privé. « Derrière la rigidité, il y a toujours quelque chose de caché ; dans de nombreux cas, une double vie. » En prononçant ces mots, le pape François nous a confié un secret que cette enquête vertigineuse révèle pour la première fois."

Violée à 15 ans par son entraîneur, la patineuse brise l'omerta. " Vous étiez mon entraîneur. Je venais d'avoir quinze ans. Et vous m'avez violée. Il aura fallu trente ans pour que ma colère cachée se transforme enfin en cri public. Vous avez détruit ma vie, monsieur O., pendant que vous meniez tranquillement la vôtre. Aujourd'hui, je veux balayer ma honte, la faire changer de camp. Mais je veux aussi dénoncer le monde sportif qui vous a protégé, et vous protège encore à l'heure où j'écris ces lignes. Quand j'ai voulu parler, à plusieurs reprises, je n'ai pas pu le faire. Aujourd'hui, avec ce livre, je sors de ce silence assassin. Et j'appelle toutes les victimes à en faire autant. "

Antoine Leiris a perdu sa femme, Hélène Muyal-Leiris, le 13 novembre 2015, assassinée au Bataclan. Accablé par la perte, il n'a qu'une arme : sa plume.À l'image de la lueur d'espoir et de douceur que fut sa lettre « Vous n'aurez pas ma haine », publiée au lendemain des attentats, il nous raconte ici comment,malgré tout, la vie doit continuer.C'est ce quotidien, meurtri mais tendre, entre un père et son fils, qu'il nous offre. Un témoignage bouleversant.Ancien chroniqueur culturel à France Info et France Bleu, Antoine Leiris est journaliste. Vous n'aurez pas ma haine est son premier livre.